On trouve un personnage d’esclave nommé Statius qui ne nourrit pas bien le cheval de son maître chez Aulu-Gelle, l’auteur des Nuits attiques (dont il sera question au prochain dialogue). Ici, bien que l’esclave soit devenu le maître, Statius continue de maltraiter son cheval. Il fait aussi preuve d’une grande rigidité, ce qui a amené des commentateurs, à travers l’étymologie du verbe latin stare, de le voir comme un représentant du statu quo.